NCVB
mardi 18 janvier 2011
Salon des entrepreneurs le 2 et 3 février à Paris
Vous êtes dirigeant, jeune entrepreneur ou porteur de projet et souhaitez faire les bons choix pour votre entreprise ?
http://www.salondesentrepreneurs.com/v2/Surveillermonsalarie.com : un nouveau site espion au service des patrons...
Le site internet Surveillermonsalarie.com permet aux patrons de repérer leurs employés qui feraient autre chose que travailler.
http://www.haoui.net/newsletter/2010/decembre21/insolite/index.html
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Une nouvelle méthode de recrutement : les rayons X
Pour trouver la perle rare, les entreprises sont prêtes à tester les méthodes de recrutement les plus insolites.
Un service gratuit d’édition et mise en ligne de CV
Un service gratuit d’édition et mise en ligne de CV
www.DoYouBuzz.com franchit la barre des 40 000 membres. Il n’aura pas fallu plus de 18 mois au site d’emploi et de gestion de réputation professionnelle sur internet pour atteindre les 40 000 CV créés à partir de sa plateforme. Un engouement qui devrait s’accentuer fortement en 2010 avec l’ouverture du service aux Etats-Unis.
C’est un fait établi : Doyoubuzz est devenu l’une des solutions de référence pour qui souhaite optimiser la gestion de sa « e-réputation » et se différencier des autres candidats en étant, ainsi plus facilement « repérable » par les recruteurs.
L'outil est en effet idéal pour :
1- se démarquer et susciter l’intérêt des responsables des RH ou des chefs d’entreprises en créant, en quelques clics, un CV 2.0 (ou « CV riche »), bien loin d’un CV word classique (et statique) grâce auquel il sera possible d’ajouter, au choix : séquences vidéo, diaporamas, mémoires, thèses, recommandations…
2- gérer au mieux son référencement :DoYouBuzz garantissant à tous ses membres d’apparaître dans les premiers résultats des principaux moteurs de recherche.
DoYouBuzz en quelques chiffres Ce sont donc aujourd’hui plus de 40 000 CV d’internautes (42% femmes, âge moyen : 30 ans) pour trois typologies d’utilisateurs, représentées à part quasi-égales : salariés (32%), étudiants (31%) et demandeurs d’emploi (26%). Parmi les secteurs les plus représentés, près de la moitié des adhérents au service évoluent dans l’Informatique, dans le Marketing ou la Communication, la Création/Graphisme ou occupent une activité commerciale.
Du fait de l’origine nantaise de la société, si plus de 15% des utilisateurs sont (encore) issus des Pays de la Loire, cette prédominance ne cesse de s’estomper, au profit d’autres régions comme l’Ile de France, l’Aquitaine, Paca et Rhône Alpes.
« La création de CV sur notre site connaît une progression constante. 3 000 sont ainsi créés en moyenne, chaque mois, rien qu’en France. Par ailleurs, nous sommes extrêmement satisfaits du lancement du service outre-Atlantique : nous sommes ravi de l’accueil qui nous a été fait et des excellents retours utilisateurs. Un premier résultat au-delà de nos attentes. » explique Julien Maleinge, Directeur associé de DoYouBuzz.
Dans le cadre de sa stratégie de développement, la start-up a en effet décidé de se lancer tout récemment sur le marché américain avec l’ouverture de bureaux à San Francisco et le lancement de son site en anglais. De cette manière, l’entreprise compte héberger plus de 100 000 profils, France + Etats-Unis, d’ici la fin de l’année.
En termes de fréquentation, le site est aujourd’hui visité en moyenne par près de 200 000 internautes chaque mois (soit l’équivalent de 800 000 pages vues).
A propos de DoYouBuzz Lancé à l’automne 2008, DoYouBuzz.com est un site d’emploi et de gestion de réputation professionnelle édité et développé par la start-up nantaise DoYou Multimédia. DoYouBuzz.com permet à tout utilisateur de créer et de référencer son CV sur les moteurs de recherche (Google, Yahoo…). La qualité et l’originalité des services proposés a déjà su séduire les spécialistes du web et du recrutement ainsi que plus de 40 000 internautes. La société, qui emploie aujourd’hui 10 salariés, a réalisé un premier tour de table en juin 2009. Dans le cadre de son développement à l’international, DoYouBuzz a ouvert (mars 2010) un bureau à San Francisco (Californie).
lundi 17 janvier 2011
Comment les recruteurs vous traquent sur le Net
Évaluer un candidat en une heure est un exercice difficile. Alors pour confirmer leurs impressions ou en savoir plus sur vous, les recruteurs peuvent vous suivre à la trace sur Internet ! Découvrez quels sont les recruteurs qui mènent l’enquête sur le Web et comment ils procèdent.
L’arme préférée des recruteurs à la recherche d’informations sur un candidat ? Google bien sûr. Rien de plus simple en effet que de taper le nom d’une personne dans le célèbre moteur de recherches et de voir ce qui ressort. Car même si de votre côté vous n’avez jamais rien mis en ligne sur Internet, il est possible que vous apparaissiez sur le site de votre ancienne école, de votre entreprise actuelle, d’une association ou encore d’un club de sport dont vous faites partie… Et s’ils veulent en savoir encore plus, ils peuvent utiliser des sites comme 123people, dédié aux recherches sur les noms de personnes.
Les réseaux professionnels de type LinkedIn ou Viadeo sont également des outils de choix lors d’un recrutement. Seulement, explique Olivier Zara, expert du Web 2.0 et président d’Authentys, société de personal branding, « sur ces sites, les candidats mettent les informations auxquelles ils veulent que les gens aient accès. C’est un peu comme lire le commentaire de l’éditeur avant d’acheter un bouquin : on se doute bien qu’il n’expliquera pas que le livre ne vaut rien. » D’où le recours au « name googling » pour creuser davantage.
Qui sont ceux qui vous googlisent ?
Pour l’instant, ce sont surtout les cabinets de recrutement qui prennent le temps de scruter les recoins de la Toile à la recherche d’informations, les recherches sur Internet étant très chronophages. Mais, selon Olivier Zara, « nous nous dirigeons vers une généralisation », et de plus en plus de recruteurs se convertissent aux enquêtes virtuelles. Bien sûr, des recherches ne sont pas effectuées pour tous les CV reçus, seuls ceux retenus en première sélection y ont généralement droit.
Mais à quoi servent les informations ainsi glanées ? Essentiellement à valider si ce qui se trouve sur le Net correspond bien à ce qui est dit sur votre CV. Mais aussi à mieux vous cerner, en collectant des informations qui ne figurent pas dans votre candidature. Enfin, à vérifier si rien de gênant ne ressort…
Facebook or not Facebook ?
Et qu’en est-il de Facebook ? Presque tout le monde y figure, les recruteurs doivent donc être tentés d’aller y faire un tour, ne serait-ce que par curiosité. Mais le réseau social pose problème à la profession. En effet, la loi est claire : les employeurs ne peuvent pas refuser une candidature à cause de détails personnels. Or, ce sont principalement des détails personnels qui sont en ligne sur Facebook… Nicole Laïk, DRH du groupe GFI Informatique, est catégorique : « nous nous devons de respecter la confidentialité des informations. Il existe d’ailleurs une charte dans ce sens. »
En théorie donc, rien à craindre de ce côté-là. Mais dans les faits, 14 % des recruteurs avouent avoir déjà rejeté un CV suite à la découverte d’informations privées qui les ont inquiétés. Car même en ne visitant pas directement Facebook, c’est bien souvent sur cette page que l’on tombe lorsqu’on tape un nom sur Google…
Les cas où le Net vous nuit
« J’ai à l’esprit l’exemple de quelqu’un qui a failli ne pas être recruté parce qu’il postulait pour un emploi de chef de produit et que, d’après son profil Viadeo, il n’était que stagiaire, raconte Olivier Zara. Il ne l’avait simplement pas mis à jour. » Dans ce cas, le recruteur a pris la peine de vérifier l’information et d’en parler au candidat, mais tout le monde ne réagit pas de cette façon.
Autre exemple : cette étudiante californienne, recrutée par une grande entreprise américaine, qui s’est empressée de poster un tweet annonçant qu’elle allait désormais occuper un job qu’elle détesterait pour un très gros salaire et que la seule idée des trajets quotidiens l’agaçait d’avance… Résultat : le recruteur, un adepte de Tweeter, l’a licenciée le jour même de son embauche !
Mais si le Web peut vous desservir, sachez qu’une absence de la Toile est également risquée. « Certains recruteurs avouent que lorsqu’ils ne trouvent rien du tout sur un candidat en surfant sur le Net, le CV atterri directement dans la corbeille », prévient Olivier Zara. « À une époque, celui qui envoyait son CV par mail partait plus gagnant que celui qui l’envoyait encore en version papier, ajoute Isabelle Bernard, directrice du développement des ressources humaines chez SGS. On s’y dirige tout droit avec Internet : celui qui n’y figure pas attire moins l’attention. »
Conclusion
Pensez à contrôler régulièrement ce que l'on trouve sur vous grâce à Google. Si vous n'avez pas toujours la possibilité de supprimer des éléments qui vous semblent dérangeants, vous serez au moins capable d'anticiper. Enfin, n'oubliez pas qu'il faut soigner sa réputation sur le web lorsqu'on est en recherche d'emploi mais aussi lorsqu'on est en poste !
Vous avez les compétences mais pas le titre ? 4 conseils pour postuler
Des offres d’emploi vous intéressent mais le titre du poste ne correspond pas aux fonctions que vous avez exercées ? Pas de panique : si vous avez les compétences, ce n’est pas mission impossible. Voici 4 conseils pour vous aider à convaincre les recruteurs.
1. Le CV : le choix des mots est essentiel
Lorsqu’on postule pour une fonction que l’on n’a jamais exercée, retravailler son CV peut devenir un casse-tête. « Il ne faut surtout pas mentir ou inventer des éléments dans son parcours professionnel mais plutôt adapter son CV pour montrer au recruteur en quoi vous vous rapprochez du poste à pourvoir », recommande Louis Grümmer, directeur associé du cabinet ABC For Value. Votre objectif : attirer en quelques secondes l’œil du recruteur sur les compétences qu’il recherche.
Prenons l’exemple d’un technicien en laboratoire d’analyse qui souhaiterait évoluer vers des fonctions technico-commerciales et passer ainsi du laboratoire à la relation clients. « Dans le CV, au moment de décrire son expérience antérieure en laboratoire, il peut souligner le fait qu’il recevait régulièrement des commerciaux, qu’il a déjà formé certains collègues voire même préciser toute expérience dans la vente ou le relationnel qu’il a pu avoir en tant qu’étudiant », précise Hélène Camilli, codirectrice du cabinet de recrutement Alerys.
Il faut donc scruter les compétences requises dans l’offre d’emploi et essayer de les replacer au sein de votre CV. « C’est toujours rassurant pour un recruteur, qui cherche des compétences particulières, de trouver les mots adéquats dans le CV », confirme Hélène Camilli.
2. La lettre de motivation : souligner sa capacité d’adaptation
Si certains recruteurs admettent ne lire que très rarement la lettre de motivation, d’autres la considèrent comme un lieu d’expression important. Or elle prend justement tout son sens pour expliquer les raisons d’une candidature à un poste différent de ceux que vous avez exercés jusque-là. « Vous ne devez pas avoir peur d’évoquer ce décalage mais il faut surtout mettre en avant les côtés positifs de cette démarche ainsi que vos capacités d’adaptation », conseille Morgane Jain, responsable du recrutement au sein du Crédit Mutuel Arkea.
En plus de rappeler vos compétences en lien avec le poste, la lettre de motivation devrait exposer les qualités personnelles recherchées par le recruteur. Ainsi, le technicien de laboratoire qui souhaite devenir commercial devrait mettre en avant sa connaissance technique des produits et de l’environnement mais aussi ses qualités relationnelles et son sens commercial.
3. L’entretien : maîtriser le vocabulaire du poste
Votre candidature a fait mouche et vous avez réussi à obtenir un entretien ? Bravo ! Mais la partie n’est pas gagnée pour autant. « Décrocher un poste différent du sien demande des efforts de préparation bien plus importants pour rassurer le recruteur », insiste Louis Grümmer d’ABC For Value. « Si l’entretien n’est pas assez préparé, le candidat risque rapidement de tomber dans la justification plutôt que dans l’argumentation », ajoute-t-il. La responsable de recrutement au sein du Crédit Mutuel Arkea abonde en son sens : « on va vraiment pousser le candidat dans ses retranchements pour tester sa motivation », indique Morgane Jain.
Pour vous sentir plus en confiance avant l’entretien, n’hésitez pas à rencontrer des professionnels qui exercent la fonction pour laquelle vous postulez. « Cela peut permettre de repérer le vocabulaire et le contexte culturel du poste afin d’être plus crédible face au recruteur », indique Hélène Camilli.
4. Préférer les entreprises aux cabinets
Dans une telle situation, nos experts en recrutement jugent qu’il est plus judicieux de postuler auprès des entreprises qu’auprès des cabinets de recrutement, dont le cahier des charges les empêche parfois d’ouvrir les candidatures aux profils plus variés. Au sein du Crédit Mutuel Arkéa par exemple, comme les recrutements sont assez réguliers, toutes les candidatures, mêmes les plus atypiques, sont regardées de près et conservées.
Enfin, pensez aussi à postuler auprès d’entreprises qui ne sont pas nécessairement les leaders du marché. Très courtisés, les groupes les plus connus risquent en effet de ne sélectionner que des candidats ayant exactement le titre demandé. Vous pourriez avoir plus de chance de faire mouche en sortant des sentiers battus.
5 conseils pour réussir ses e-mails de motivation
Internet a révolutionné la recherche d’emploi. Fini les longues heures passées à rédiger des lettres de motivation manuscrites et les séances de pliage, collage, postage de candidatures. Aujourd’hui, tout se joue en ligne.
Mais attention, l’e-mail qui accompagne votre CV est capital. Il est votre premier contact avec votre futur employeur. Il doit donner envie au lecteur d’en savoir plus sur votre profil et offrir une très bonne image de votre candidature.
Voici cinq conseils pour réussir vos e-mails de motivation :
1. Donnez un sujet clair et précis
Le recruteur reçoit des centaines d’e-mails suite à l’affichage d’une offre d’emploi. Et il gère souvent plusieurs recrutements en même temps. Un sujet classique comme « Ma candidature à votre offre » ne lui apportera aucune information utile. Simplifiez-lui ses futures recherches et indiquez-lui systématiquement le nom du poste pour lequel vous postulez, avec sa référence si elle est donnée.
2. Adoptez un style e-mail
Un e-mail ne se rédige pas comme une lettre. En entreprise, tout le monde le sait et en tient compte. Seuls les candidats se croient encore obligés de conserver un style littéraire. Optez pour un style plus simple, plus clair, plus direct. Éliminez les phrases trop longues, les tournures trop travaillées et les formules de politesse d’un autre siècle. Par exemple, un « Bien cordialement » pour finir suffira amplement et montrera aussi que vous avez déjà rédigé des e-mails dans un cadre professionnel.
3. Bannissez les messages télégraphiques
Votre e-mail sera la première impression donnée au recruteur. Un laconique « Ci-joint ma candidature » est beaucoup trop sec, même si votre lettre de motivation jointe est bien travaillée. Le recruteur jugera aussi, avec cet email, la manière dont vous communiquerez par la suite avec vos futurs collègues ou clients. Vous n’enverrez pas, par exemple, une facture en disant uniquement « Ci-joint votre facture »… Un minimum s’impose.
4. Soyez vendeur
De plus en plus souvent, les recruteurs lisent l’e-mail et le CV en pièce jointe. Très peu, en fait, ont le temps d’ouvrir la lettre de motivation jointe. Tenez compte de cette réalité et utilisez alors votre e-mail pour donner, en quelques lignes, les raisons de votre candidature et vos principales motivations pour le poste. Vous devez donner envie aux recruteurs de s’attarder sur votre CV et de vous appeler. Présentez vos arguments les plus forts dès les premières lignes pour attirer immédiatement l’attention de votre lecteur. Personnalisez au maximum votre message en fonction de l’offre et de l’entreprise; les e-mails « passe partout » se repèrent tout de suite et ne donnent pas la meilleure image possible de votre candidature.
5. Renoncez aux adresses farfelues
5. Renoncez aux adresses farfelues
Si votre adresse e-mail personnelle remonte à vos années étudiantes, elle peut être originale, parfois trop pour un échange professionnel. C’est un détail, mais évitez si possible d’envoyer un CV pour un poste avec une adresse email du style « grosnounours@hotmail.com » « supermario@yahoo.fr » ou « vivelesblondes@laposte.net ». Privilégiez un classique « prenom.nom@orange.fr »…
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