Auparavant (1950-1970), ce qui importait avant tout pour l’entreprise c’était la maîtrise des savoirs par son futur employé (notamment pour le premier emploi). Travailler était l’occasion d’acquérir son savoir-faire.
Puis le savoir-faire (1970-1990) est devenu premier alors que la maîtrise de la technologie devenait de plus en plus prégnante. C’est là qu’une pression est apparue
Aujourd’hui (1990-2010 ?) nous sommes davantage dans une situation où le savoir-être est la ressource première pour mobiliser les deux autres. Dans un monde qui bouge, le changement et l’adaptation des salariés sont les maîtres mots ; les relations que l’on entretient avec ses fournisseurs, ses collaborateurs, ses clients internes ou externes à l’entreprise, ses responsables s’apparentent à une relation commerciale.
Pour demain, on peut facilement imaginer un nouveau renversement. Le savoir lié à la société de la connaissance reprendrait une position décisive. C’est l’idée attachée à la formation tout au long de la vie ; c’est l’idée du passage de l’utilisation du savoir appris à l’école, une fois pour toute, à une
ChJ & OFEM
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